A muslim work at film development store, his job is taking film from customer put it in the machine to be developed. Is his income halal or not?
Praise be to Allah.
This ruling needs to be divided into categories. If he is developing pictures which people need for necessary reasons or for some reason which will serve the general interest, then it is permissible to develop these pictures and take that as a profession and a source of income, because whatever is permitted for reasons of necessity or serving the common interest, it is permissible to deal in it in all kinds of transactions and contracts. What is permitted in essence for reasons of necessity, it is also permitted to take its price. This kind of pictures and the cameras and machines used for them are a means of serving a necessary purpose which people need, and the means are subject to the same rulings as the ends, provided that this is only done as much as is necessary and as is needed to serve those needs and achieve that interest only, based on the principle “actions based on necessity should measued by that necessity.”
The second type of pictures are those for which there is no need and which do not serve any purpose. The most correct view concerning these pictures is that they are haram and that it is not permissible to keep these pictures. Therefore it is haram to develop these pictures.
See Ahkam al-Tasweer by Muhammad Wasil, p. 602.
See also the answer to Question # 3243 concerning the earnings of one who makes images. And Allah knows best.
Sheikh Muhammed Salih Al-Munajjid
Le développement des photos
Voici un musulman qui travail dans un laboratory de photographic ; il reçoit des pellicules de la part des clients et les introduit dans un appareil qui les développe et les imprime.. Le revenu qu’il tire de l’exercice de cet emploi est-il licite ou pas ?
Louange à Allah
Le jugement à formuler varie selon les cas : si l’on développe des photos dont les gens ont besoin pour une nécessité ou un besoin ou un intérêt général pouvant être retenu comme tel, il est alors permis de faire du développement des photos un métier et une source de gains. En effet, tout ce qui est autorisé par nécessité ou par intérêt peut faire l’objet de transactions dans tous les secteurs des opérations et contrats. Chaque fois que la nécessité fait autoriser une transaction, elle en rend le revenu licite.
La photographie et ses instruments permettent de rendre des services indispensables aux gens, et les moyens partagent le statut des objectifs. Cependant leur usage doit être limité à ce qui est nécessaire ; ce qui permet de satisfaire les besoins et de réaliser l’intérêt général conformément à la règle : « la nécessité doit être respectée selon sa juste mesure ».
Quant aux photos qui ne répondent à aucune nécessité et que l’intérêt public ne commande pas, l’avis le mieux soutenu veut qu’elles soient interdite et qu’il ne soit pas permis de les fabriquer. Sur la base de cet avis, il est interdit de développer de telles photos.
Voir ahkam at-taswir par Muhammad Wasil , p. 602. Se référer encore à la réponse donnée à la question n° 3243 relative au revenu du photographe. Allah le sait mieux.
Sheikh Muhammed Salih Al-Munajjid |
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